Copibec, l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) et l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) exhortent les partis politiques fédéraux à faire de la loi canadienne sur le droit d’auteur une priorité en matière de culture. Pour le secteur du livre, il est primordial que le prochain gouvernement s’engage à modifier la loi afin de corriger les effets des modifications de 2012 qui occasionnent des pertes de revenus importantes pour les autrices, les auteurs et les maisons d’édition.
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Lorsque l’écrivaine Ayavi Lake a été retenue pour le programme de parrainage de l’UNEQ, jumelée en 2018 à la mentor Mélikah Abdelmoumen, elle ne se doutait pas qu’elle compléterait un recueil de nouvelles, que cet ouvrage serait publié en 2019 par VLB éditeur et remporterait le Prix des Horizons imaginaires l’année suivante. « Quand j’ai rencontré Mélikah, je lui ai expliqué mon problème : j’avais écrit plusieurs nouvelles, dont certaines étaient inachevées, et je n’arrivais pas à trouver une boucle. Mélikah m’a aidé à terminer ces nouvelles et finalement à terminer le recueil au complet ».
En 1992, l’écrivaine en herbe Monique Deland fut l’une des premières bénéficiaires du programme de parrainage de l’UNEQ, jumelée à la mentor Denise Desautels. Son premier recueil de poésies a été récompensé par le Prix Émile-Nelligan 1995. Par la suite, Monique Deland est elle-même devenue mentor et membre du jury du programme. « C’est certain que je dois énormément à Denise et au programme de parrainage, qui m’ont pour ainsi dire permis d’entrer en littérature québécoise par la grande porte ! »
Pour une quatrième année consécutive, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ), la Fondation Lire pour réussir et leurs partenaires convient les librairies, les bibliothèques et les lieux culturels ou communautaires à célébrer la lecture le temps d’une nuit, au cœur de l’hiver.
Le 29 juillet 2014, deux écrivains, Patrice Cazeault et Amélie Dubé, ont lancé sur Facebook la campagne « Le 12 août, j’achète un livre québécois ». Il s’agissait d’une initiative spontanée, sans que cette autrice et cet auteur n’aient sollicité les libraires ni aucune association du secteur du livre.