C’est aujourd’hui que les représentantes et représentants des principales associations d’artistes (l’APASQ, l’AQAD, l’ARRQ, la GMMQ, la FNCC–CSN, la SARTEC, TRACE, l’UDA et l’UNEQ) paraîtront en commission parlementaire pour demander l’adoption du projet de loi 35 visant à modifier les lois sur le statut de l’artiste.
Communiqués de presse
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ), très satisfaite du projet de loi visant à harmoniser et à moderniser les règles relatives au statut professionnel de l’artiste déposé aujourd’hui à l’Assemblée nationale par la ministre de la Culture et des Communications, Nathalie Roy, invite le gouvernement et les partis d’opposition à l’étudier et à l’adopter dans les meilleurs délais.
Dans une proportion de 75 %, la population du Québec considère que le premier ministre François Legault doit respecter son engagement à réformer la Loi sur le statut de l’artiste au cours de son premier mandat, indique un sondage Léger mené au cours des dernières semaines à la demande de neuf associations du secteur des arts et de la culture.
Dans le budget présenté aujourd’hui par la ministre des Finances du Canada, Chrystia Freeland, le gouvernement exprime sa volonté de « faire en sorte que la Loi sur le droit d’auteur protège tous les créateurs et tous les titulaires de droits d’auteur. Par conséquent, le gouvernement s’efforcera également d’assurer la durabilité de l’industrie de l’édition de livres éducatifs, ce qui comprend une rémunération équitable pour les créateurs et les titulaires de droits d’auteur. »
Les associations d’artistes et de travailleuses et de travailleurs du milieu culturel saluent l’annonce de la ministre de la Culture et des Communications quant au prolongement des mesures de soutien du gouvernement québécois à l’égard du milieu des arts et de la culture, fortement ébranlé depuis le début de la pandémie.
Après avoir accordé une résidence d’écriture à l’automne 2022 à l’écrivaine québécoise Annie-Claude Thériault, la Villa Marguerite Yourcenar (France) a récemment attribué des ressources pour une seconde résidence cette année en collaboration avec le Québec. Cette résidence supplémentaire a été décernée à l’écrivaine Vanessa Bell.
Le 22 janvier 2022, la Nuit de la lecture retrouve une nouvelle fois les Québécoises et Québécois dans le confort de leur foyer. Des activités de lecture pour tous les âges et tous les goûts seront accessibles en ligne à l’occasion de cette quatrième édition.
Symon Henry a remporté le 14 décembre dernier une bourse de 15 000 $ pour une résidence d’écriture et de médiation culturelle à la Bibliothèque du Vieux-Saint-Laurent (arrondissement de Saint-Laurent).
L’écrivaine québécoise Annie-Claude Thériault est la première lauréate d’une nouvelle résidence d’écriture à la Villa Marguerite Yourcenar, en France.
Le directeur général de l’Union des écrivaines et des québécois (UNEQ), Laurent Dubois, a assisté ce 22 novembre en matinée à une conférence de presse du gouvernement du Québec sur un certain nombre d’initiatives visant à renforcer les liens entre l’école et la culture. L’événement rassemblait le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, et la ministre de la Culture et des Communications, Nathalie Roy.
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) tient à féliciter Pablo Rodriguez pour sa nomination à la tête du ministère du Patrimoine canadien.
Neuf associations du secteur des arts et de la culture ont demandé ce matin au gouvernement du Québec de déposer dès l’automne le projet de réforme tant attendue de la loi sur le statut de l’artiste. Pour ces organisations représentant plus de 26 000 artistes, toutes disciplines confondues, il est impératif de pallier les brèches de la loi actuelle qui privent ceux-ci de droits fondamentaux en matière de travail pourtant accessibles à l’ensemble de la population du Québec. Les neuf associations ont présenté ce matin un ensemble de revendications communes qu’elles porteront auprès du gouvernement au cours des prochaines semaines.
Après trois ans d’attente, le temps presse plus que jamais : le gouvernement du Québec doit déposer une nouvelle loi sur le statut de l’artiste dès cet automne. L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) craint que de nouveaux délais compromettent cette réforme tant attendue, car des élections provinciales seront déclenchées en 2022 et les projets de loi qui ne sont pas adoptés à temps avant une élection meurent au feuilleton.
Copibec, l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) et l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) exhortent les partis politiques fédéraux à faire de la loi canadienne sur le droit d’auteur une priorité en matière de culture. Pour le secteur du livre, il est primordial que le prochain gouvernement s’engage à modifier la loi afin de corriger les effets des modifications de 2012 qui occasionnent des pertes de revenus importantes pour les autrices, les auteurs et les maisons d’édition.
Huit nouvelles voix à découvrir, huit titres surprenants, prometteurs, remarquables, novateurs, à lire et à débattre dans les clubs du premier roman !
Les membres de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) ont élu Suzanne Aubry, Catherine Lafrance, Karine Légeron et Pierre-Luc Landry pour combler quatre postes vacants au conseil d’administration de leur Union. Les résultats d’un scrutin électronique qui s’est déroulé du 17 au 31 mai dernier ont été dévoilés ce 21 juin lors de l’assemblée générale annuelle de l’UNEQ.
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) a remis aujourd’hui trois bourses d’écriture à autant d’écrivaines québécoises. Mikella Nicol a décroché la première bourse Jean-Marie-Poupart. Aimée Lévesque a remporté la bourse Jean-Pierre-Guay — Caisse Desjardins de la Culture, pour un projet de fiction, et Gabrielle Lebeau a obtenu la bourse Charles-Gagnon pour un projet d’essai.
Confiante dans la volonté de la ministre de la Culture et des Communications d’améliorer les conditions socio-économiques des artistes québécois, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) lui demande de prendre l’engagement de déposer un projet de loi à l’automne pour réformer les lois sur le statut de l’artiste.
Deux récents sondages commandés par l’UNEQ, l’un auprès de la population du Québec, l’autre auprès des écrivaines et écrivains, confirment que la population soutient très largement les revendications de la communauté littéraire et que les artistes appuient leur syndicat.
Les lectrices et lecteurs des clubs des Rendez-vous du premier roman ont lu, débattu et voté pour leurs favoris. Pour cette 7e saison, une sélection d’œuvres francophones (huit québécoises et franco-canadiennes, et huit hors-Canada) a été soumise aux clubs de lecture des Rendez-vous du premier roman. Après six mois de rencontres, souvent virtuelles, et de débats, ils ont élu leurs lauréats : l’auteur Paul Kawczak pour Ténèbre (La Peuplade) pour la sélection québécoise et franco-candienne, et l’autrice Caroline Dorka-Fenech pour Rosa Dolorosa (de la Martinière) pour la sélection hors-Canada.
En proposant aux écrivaines et écrivains une rémunération indécente pour certaines interventions en milieu scolaire, le Salon international du livre de Québec (SILQ) démontre à lui seul la nécessité d’encadrer d’urgence les conditions de travail des artistes de la littérature.
Le ministre de la Justice, procureur général du Québec et ministre responsable de la Langue française, M. Simon Jolin-Barrette, annonce l’octroi d’une subvention de 720 000 $ à l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) pour la réalisation de son programme Parlez-moi d’une langue !.
Les écrivaines Karine Légeron et Aimée Verret ont remporté le 27 janvier dernier une bourse d’écriture, respectivement dans les bibliothèques d’Ahuntsic (arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville) et de Rivière-des-Prairies (arrondissement Rivière-des-Prairies—Pointe-aux-Trembles). Ces résidences, d’une durée de six mois, se dérouleront entre avril et novembre 2021.
Le ministère de la Culture et des Communications du Québec procède actuellement à une consultation en ligne sur la révision des deux lois sur le statut de l’artiste. Dans son mémoire déposé aujourd’hui au ministère, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) affirme que la loi qui régit le statut des écrivain·e·s est injuste, inéquitable et inapplicable, et revendique un nouvel encadrement législatif.
Le 23 janvier 2021, de 18 h à 23 h, trente activités en ligne, pour tous les âges et tous les goûts, seront offertes au grand public ainsi qu’à celles et ceux qui désirent (re)trouver le plaisir de la lecture.
Depuis de nombreuses années, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) réclame une réforme des lois québécoises sur le statut de l’artiste. Par conséquent, le syndicat professionnel accueille très favorablement l’annonce faite hier par la ministre de la Culture et des Communications de la reprise des consultations sur la révision des lois. Pour l’UNEQ, le temps est venu de réunir les conditions indispensables à une représentation collective des écrivaines et écrivains québécois.
Le regroupement d’associations et d’entreprises du milieu du livre — l’UNEQ, l’ANEL, l’ALQ, Archambault, COOPSCO, Les Libraires, Renaud-Bray, l’ADELF et l’AQSL — est fier de lancer « Je lis québécois », une campagne publicitaire d’envergure s’adressant à toute la population québécoise qui valorisera le livre d’ici tout en stimulant l’achat dans les librairies bien de chez nous.
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) révèle les résultats d’une enquête menée auprès des autrices et auteurs québécois début octobre. Ces chiffres démontrent sans équivoque le déséquilibre du rapport de force entre les partenaires du milieu, déséquilibre qui mène bien souvent à des comportements inacceptables et à une omerta intolérable.
La presse a dévoilé l’acquittement de l’écrivain Yvan Godbout, accusé avec son éditeur de production de pornographie juvénile dans son roman Hansel et Gretel. Ce jugement tant attendu, accueilli avec soulagement par l’UNEQ et les écrivaines et les écrivains qu’elle représente, est un moment important pour le milieu littéraire et pour toute notre société.
En cette période de crise sanitaire, économique et culturelle, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) souhaite vivement que certaines promesses du gouvernement fédéral énoncées le 23 septembre dans le discours du Trône se concrétisent.
Au cours des derniers mois, le comité de sélection composé de huit grands lecteurs et lectrices et présidé par l’écrivaine, animatrice et journaliste Claudia Larochelle a lu toute la production de premiers romans québécois et francophones publiés au Canada.
L’UNEQ donne son appui à la lettre rédigée par un groupe constitué de plusieurs centaines de femmes et minorités de genre déterminées à faire cesser une situation qui ne peut plus durer dans le milieu littéraire.
L’écrivaine Virginie Blanchette-Doucet est la lauréate de la bourse d’écriture Jean-Pierre-Guay – Caisse Desjardins de la Culture 2020. Cette bourse, dotée d’un montant de 3 000 $ offert par la Caisse Desjardins de la Culture, est remise une fois l’an à un(e) membre de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) pour un projet d’écriture en cours d’achèvement.
L’essayiste Étienne Beaulieu est le second lauréat de la bourse Charles-Gagnon. Cette bourse, dotée d’un montant de 3 000 $ offert par la Fondation Lire pour réussir, est remise une fois l’an à un écrivain ou une écrivaine du Québec pour un projet d’écriture en cours d’achèvement.
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) accueille avec beaucoup de réserves le plan de relance économique du milieu culturel dévoilé en conférence de presse le 1er juin dernier par la ministre de la Culture et des Communications du Québec, Nathalie Roy, aux côtés du premier ministre François Legault.
Plus de deux cents lectrices et lecteurs boulimiques des Rendez-vous du premier roman ont lu une sélection d’œuvres francophones, 10 publiées au Canada, 10 publiées en France. Après six mois de rencontres et de débats, ils ont élu leurs lauréates : l’autrice québécoise Marie-Ève Thuot pour La Trajectoire des confettis (Les Herbes rouges) et l’autrice française Victoria Mas pour Le Bal des folles (Albin Michel). Cette dynamique commune autour des premiers romans francophones est coordonnée par l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) et le Festival du premier roman de Chambéry en France.
En France, un rapport récemment remis au ministre de la Culture décrit très clairement la précarité des artistes-auteurs et met de l’avant des recommandations qui pourraient inspirer les travaux de révision des lois québécoises sur le statut professionnel des artistes qui doivent commencer sous peu.
C’est avec consternation que l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) a lu et entendu à plusieurs reprises des rapprochements entre l’affaire Gabriel Matzneff, qui secoue le monde littéraire français, et l’affaire Hansel et Gretel qui menace l’écrivain québécois Yvan Godbout de 14 années de prison. L’UNEQ appelle toute personne amenée à commenter ces actualités à faire preuve de discernement. Toute comparaison est insultante pour Yvan Godbout, les écrivains et la littérature.
Le 18 janvier 2020, librairies, bibliothèques, maisons de la culture et autres lieux culturels à travers le Québec ouvriront leurs portes la nuit tombée pour offrir une trentaine d’animations gratuites sur le livre et la lecture, grâce à la participation de nombreux écrivains.
L’UNEQ est très préoccupée par la poursuite criminelle à l’encontre de l’écrivain Yvan Godbout et de son éditeur pour un passage du roman Hansel et Gretel (Éditions AdA, 2017).
C’est avec optimisme que l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) accueille le chantier de réforme des lois sur le statut de l’artiste annoncé ce matin par la ministre de la Culture et des Communications du Québec. L’UNEQ espère vivement qu’une législation lui permettra enfin de négocier des ententes-cadres fixant les conditions minimales de travail, mais aussi de tout type de contrat proposé aux écrivains.
Montréal, 22 novembre 2019 — Sur 805 manuscrits reçus par neufs éditeurs québécois en 2018, près de la moitié (48,9 %) ont été soumis par des femmes, mais ces mêmes éditeurs n’ont publié que 37 % de manuscrits signés par des femmes en 2017-2018. Et bien que les écrivaines aient obtenu 57 % des bourses à la création […]
L’UNEQ accueille favorablement la nomination de Steven Guilbeault à la tête du ministère du Patrimoine canadien.
Bien que le Québec possède une industrie du livre très dynamique, il ne peut pas encore revendiquer une authentique culture de la lecture.
Depuis 20 ans, Livres comme l’air et les écrivains québécois témoignent leur solidarité à des écrivains emprisonnés ou menacés à travers le monde.
Le poète Fortner Anderson ainsi que la poète et auteure de récits Laure Morali ont remporté en septembre dernier une bourse d’écriture, respectivement dans les bibliothèques de Pierrefonds (Arrondissement de Pierrefonds-Roxboro) et de Saint-Léonard (arrondissement de Saint-Léonard). Ces résidences de six mois se dérouleront en 2019-2020.
Cinq associations professionnelles du secteur du livre, représentants les écrivains (UNEQ), les éditeurs (ANEL), les distributeurs (ADELF) et les libraires (ALQ, Coopsco), ont rédigé un questionnaire à l’attention des cinq principaux partis politiques actuellement en campagne électorale. Ce questionnaire fait état des principales préoccupations de l’industrie du livre de langue française au Canada.
Le poète Gilles Vigneault a été reçu membre d’honneur de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) lors d’une célébration qui s’est déroulée à la Maison des écrivains le 13 octobre dernier en présence de nombreux membres de l’Union.
L’UNEQ se joint au mouvement syndical, étudiant, communautaire et environnemental québécois en participant à la Planète en grève (Global Climate Strike, globalclimatestrike.net) le 27 septembre 2019. La communauté littéraire québécoise est invitée à débrayer pour le climat.
Le Comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie de la Chambre des communes (Comité INDU), chargé de l’examen de la Loi sur le droit d’auteur, a récemment confirmé qu’il ne tiendra pas compte des recommandations d’un autre comité de députés, celui qui a eu pour mandat de l’éclairer sur la rémunération des créateurs.