Mandat
Depuis plus de 40 ans, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) travaille à la défense des droits socio-économiques des écrivaines et des écrivains ainsi qu’à la valorisation de la littérature québécoise, au Québec, au Canada et à l’étranger.
Syndicat professionnel fondé le 21 mars 1977 par une cinquantaine d’écrivains réunis autour de Jacques Godbout, l’UNEQ regroupe aujourd’hui plus de 1 600 écrivains : poètes, romanciers, auteurs dramatiques, essayistes, auteurs pour jeunes publics et auteurs d’ouvrages scientifiques et pratiques.
Devenir membre de l’UNEQ, c’est bénéficier de :
Services juridiques
Vous avez besoin de conseils pour négocier votre contrat ou vous éprouvez des difficultés à percevoir vos droits d’auteur ? L’UNEQ offre une consultation juridique d’une heure par année à ses membres. De plus, nos membres ont droit au remboursement des frais d’ouverture d’un dossier pour le dépôt d’une requête liée à la pratique d’écrivain au tribunal des petites créances.
Formations
Notre plateforme de formation à distance L’auteur autonome s’adresse aux écrivains de la relève, aux écrivains professionnels et à toute personne cherchant des informations sur le milieu du livre et le métier d’écrivain. L’UNEQ organise également des formations ponctuelles sur divers sujets : droit d’auteur, bourses de création, lecture publique, outils numériques, etc.
Programmes de rencontres
L’UNEQ coordonne des rencontres avec des écrivains dans les bibliothèques, les écoles primaires, secondaires et les cégeps, ainsi que dans divers organismes de diffusion culturelle.
Outils de promotion
L’UNEQ valorise le travail et l’expertise de ses membres en leur offrant notamment un répertoire de conférenciers. Les membres peuvent également organiser gratuitement des lancements et autres activités au siège social de l’UNEQ, la Maison des écrivains (3492, avenue Laval, à Montréal). Sans oublier les activités d’animation littéraire avec nos partenaires : le Festival international de la littérature, les Journées de la culture, Nuit blanche à Montréal, etc.
Un coup de pouce financier
La bourse d’écriture Jean-Pierre Guay — Caisse Desjardins de la Culture, la bourse Charles-Gagnon, la bourse Jean-Marie-Poupart, des informations sur les prix littéraires, sur diverses bourses et résidences d’écriture, ainsi que le fonds de secours Yves-Thériault.
Une organisation représentative
L’UNEQ a été reconnue en 1990 comme l’association la plus représentative des artistes du domaine de la littérature, en vertu de la Loi sur le statut professionnel des artistes en arts visuels, des métiers d’art et de la littérature et sur leurs contrats avec les diffuseurs (L.R.Q., chapitre S-32.01), et par la réforme de la Loi survenue en juin 2022. Par conséquent, l’UNEQ s’exprime au nom de toutes les écrivaines et tous les écrivains québécois.
L’UNEQ a aussi été accréditée en 1996 par le Tribunal canadien des relations professionnelles artistes-producteurs pour négocier, de façon exclusive, avec les producteurs relevant de la compétence fédérale, afin de conclure des accords-cadres qui définissent les conditions d’embauche des travailleurs professionnels autonomes du secteur littéraire.
Conseil d’administration
L’UNEQ est dirigée par un conseil d’administration composé de sept membres.
Le conseil d’administration est actuellement composé des membres suivants :
Équipe
L’équipe permanente de l’UNEQ, outil principal de l’association, assure le lien permanent entre les administratrices et administrateurs élus et les membres. Elle prend en charge l’organisation et l’administration de toutes les actions du syndicat.
L’équipe diffuse une multitude de renseignements utiles. Les questions de droit d’auteur (informations, contrats, négociations, règlements de litiges) ainsi que l’administration des différents programmes et services relèvent de sa compétence.
L’équipe apporte également les réponses aux questions qui concernent les bourses et les subventions, les prix littéraires et les maisons d’édition, l’organisation de divers événements, etc.
Ce travail se déroule à la Maison des écrivains.
Directrice générale
g.lauzon@uneq.qc.ca
Responsable des communications et adjointe à la direction générale
lea.vdc@uneq.qc.ca
Consultant responsable de l’administration et des finances
m.pichette@uneq.qc.ca
Chargé de projet de valorisation de la littérature
charles.ferland@uneq.qc.ca
Technicienne administrative
ecrivez@uneq.qc.ca, noemie.gonthier@uneq.qc.ca
(Photos : Audrée Wilhelmy, Hélène Gadé)
Merci à notre partenaire logiciel de gestion des horaires de travail :
Historique
Le 23 janvier, la Nuit de la lecture au Québec offre 30 lectures en ligne livrées par 52 écrivaines et écrivains, à raison de six activités par heure. Cet événement littéraire annuel, désormais bien établi, rejoint un large public (13 000 personnes).
En janvier, le ministère de la Culture et des Communications du Québec procède à une consultation sur la révision des lois sur le statut de l’artiste. L’UNEQ, dans son mémoire déposé au Ministère, réclame pour les écrivaines et les écrivains le même statut légal que les artistes de la scène, du disque et du cinéma. Plus de 1 000 écrivaines et écrivains du Québec et allié·e·s se mobilisent et signent une lettre ouverte publiée dans sept journaux quotidiens. La campagne « Je suis un·e écrivain·e, je suis un·e artiste à part entière » se déplace ensuite sur les réseaux sociaux, avec un énorme effet d’entraînement. Une mobilisation jamais vue dans l’histoire de l’UNEQ.
L’UNEQ multiplie les efforts pour sensibiliser ses membres et le secteur du livre à la prévention du harcèlement, des abus de pouvoir et de la violence dans le milieu littéraire.
La Fondation Lire pour réussir mandate l’UNEQ pour gérer un nouveau concours littéraire, la bourse Jean-Marie-Poupart, assortie d’un montant de 3 000 $.
Le ministre de la Justice du Québec et ministre responsable de la Langue française octroie une subvention de 720 000 $ à l’UNEQ pour la réalisation de son programme Parlez-moi d’une langue ! sur trois ans.
L’UNEQ dénonce publiquement la rémunération indécente offerte aux écrivaines et écrivains par le Salon international du livre de Québec pour certaines interventions en milieu scolaire.
Dans le dossier de la révision des lois sur le statut de l’artiste, deux sondages commandés par l’UNEQ (l’un auprès de la population du Québec, l’autre auprès des écrivaines et écrivains) confirment en avril que la population soutient très largement les revendications de la communauté littéraire et que les artistes appuient leur syndicat.
En mai, l’UNEQ demande à la ministre de la Culture et des Communications du Québec de déposer un projet de loi à l’automne pour réformer les lois sur le statut de l’artiste. Cette demande est réitérée en septembre avec l’appui de huit associations du secteur des arts et de la culture.
La Délégation générale du Québec à Paris, la Villa Marguerite Yourcenar et l’UNEQ s’associent pour la première fois afin d’offrir une résidence d’écriture d’un mois à une écrivaine ou un écrivain du Québec.
Le programme de parrainage de l’UNEQ célèbre ses 30 ans d’existence.
En septembre, l’UNEQ, Copibec et l’Association nationale des éditeurs de livres exhortent les partis politiques fédéraux —alors en campagne électorale — à faire de la loi canadienne sur le droit d’auteur une priorité en matière de culture.
Neuf organisations syndicales — dont l’UNEQ — représentant 25 000 artistes québécoises et québécois unissent leurs forces le 18 octobre obtenir gain de cause dans le dossier de la révision des lois sur le statut de l’artiste, lors d’une réunion en ligne baptisée Agora des artistes. La ministre de la Culture et des Communications du Québec, Nathalie Roy, y prononce une allocution.
Un dépliant de l’UNEQ intitulé Pour un milieu du livre exempt de harcèlement psychologique et sexuel, imprimé à 8 000 exemplaires, est acheminé aux membres de l’UNEQ ainsi qu’à de nombreux éditeurs, libraires, organismes partenaires, etc.
Le 18 janvier, la seconde Nuit de la lecture prend de l’ampleur : d’Amos à New Richmond en passant par Gatineau, Montréal, Victoriaville, Trois-Rivières et Québec, des librairies, bibliothèques, maisons de la culture et autres lieux culturels offrent une trentaine d’animations gratuites sur le livre et la lecture.
Le 13 mars débute un confinement imposé pour freiner la pandémie de la COVID-19. L’UNEQ est fermée au public à compter de ce jour. Les gouvernements du Québec et du Canada mettent en place des mesures financières d’urgence pour les particuliers et les entreprises, les organismes publics comme les conseils des arts revoient rapidement les modalités de leurs bourses et subventions. L’UNEQ diffuse un sondage afin d’évaluer les répercussions économiques sur les écrivaines et écrivains (presque tous les événements littéraires, qu’il s’agisse de tournées dans les écoles, cégeps et université, conférences dans les bibliothèques publiques, salons du livre et spectacles publics, etc., sont annulés ou reportés, ce qui entraîne des pertes de revenus importantes). L’UNEQ dénonce aussi les initiatives qui font appel à la générosité des écrivaines et écrivains en les invitant à produire du contenu en ligne pour aider la population à « mieux vivre » la crise.
Au printemps, l’UNEQ, d’autres syndicats d’artistes et les sociétés de gestion collective de droits font pression auprès du gouvernement fédéral pour faciliter l’accès à la Prestation canadienne d’urgence (PCU), et le gouvernement se montre sensible à nos revendications.
L’UNEQ profite de la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur (JMLDA), soulignée le 23 avril sous l’égide de l’UNESCO, pour demander au gouvernement du Québec de reprendre dès que possible les consultations sur la révision des deux lois sur le statut de l’artiste, consultations qui devaient se dérouler en mars-avril et qui ont été reportées à cause de la pandémie.
Le 4 juin, l’UNEQ accueille avec beaucoup de réserves le plan de relance économique du milieu culturel dévoilé par la ministre de la Culture et des Communications du Québec.
Le 22 juin, l’assemblée générale de l’UNEQ se déroule entièrement sur une plateforme en ligne — une première.
En juillet éclate le #moiaussi littéraire : les témoignages de violence sexuelle et de harcèlement affluent. L’UNEQ soutient toute personne qui s’estime victime d’abus de pouvoir. L’UNEQ donne aussi son appui, le 15 juillet, à une lettre rédigée par un groupe constitué de plusieurs centaines de femmes et minorités de genre déterminées à faire cesser une situation qui ne peut plus durer dans le milieu littéraire.
En septembre, l’UNEQ créée un nouveau périodique semestriel, Format papier, conçu par et pour ses membres.
Un sondage mené par l’UNEQ en octobre révèle que le harcèlement touche une écrivaine sur trois. L’UNEQ dénonce le déséquilibre du rapport de force dans le milieu littéraire, l’absence de recours pour les victimes et une privation d’une partie de leurs droits syndicaux.
Le 19 novembre, la ministre de la Culture et des Communications du Québec annonce la reprise des consultations sur la révision des lois sur le statut de l’artiste pour le début de l’année 2021. L’UNEQ profite de l’occasion pour adopter un nouveau plan d’action 2020-2022 dont l’objectif prioritaire se lit ainsi : « Agir pour rendre obligatoires des normes équitables liées à la pratique du métier d’écrivain. »
La première Nuit de la lecture au Québec, qui se déroule le 19 janvier à la Maison des écrivains, est couronnée de succès. L’UNEQ organise une seconde Nuit de la lecture pour le 18 janvier 2020 : une trentaine d’animations gratuites sur le livre et la lecture auront lieu dans plusieurs régions du Québec.
La Fondation Lire pour réussir a reçu un don de 30 000 $ de la part de la Fondation Charles-Gagnon pour mettre sur pied un concours littéraire annuel couronné par la remise d’une bourse Charles-Gagnon. L’organisation de ce concours est confiée à l’UNEQ, qui l’arrime à sa bourse d’écriture Jean-Pierre Guay—Caisse Desjardins de la Culture, avec un prix de 3 000 $.
À l’occasion de la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur, le 23 avril, 16 organisations représentant plus de 200 000 artistes et créateurs joignent leurs forces pour lancer la campagne Une vie sans art, vraiment ?, sur le respect du droit d’auteur. Une initiative coordonnée par l’UNEQ.
L’UNEQ offre désormais aux écrivaines et écrivains québécois des ressources pour prévenir le harcèlement et préserver un environnement de travail sain.
La 7e saison des Rendez-vous du premier roman compte 20 clubs de lecture partout au Québec, et même en Colombie (le club interuniversitaire de Bogotá).
L’UNEQ intervient publiquement à plusieurs reprises pour commenter l’examen de la loi fédérale sur le droit d’auteur, complété par deux comités de parlementaires.
Les élections fédérales donnent l’occasion à l’UNEQ de multiplier les prises de position pour que les candidats et ensuite les élus s’engagent dans des politiques visant à améliorer les conditions socio-économiques des écrivains et, plus globalement, s’engagent à ne plus reléguer la culture aux bas-fonds de leurs priorités.
L’UNEQ dévoile une recherche inédite, Quelle place pour les femmes dans le champ littéraire et dans le monde du livre au Québec ?, menée pour son Comité Égalité hommes-femmes par une doctorante et une professeure en études littéraires et culturelles de l’Université de Sherbrooke.
La seconde Journée Lire pour réussir, coordonnée par l’UNEQ, se déroule dans le cadre des activités professionnelles du Salon du livre de Montréal.
Toujours au Salon du livre de Montréal, l’initiative Livres comme l’air souligne son 20e anniversaire. Livres comme l’air a contribué à la libération de 115 écrivains injustement condamnés à travers le monde.
À la suite d’un sondage réalisé auprès de ses membres, puis d’un lac-à-l’épaule, l’UNEQ modifie son Comité des régions en nommant des ambassadeurs régionaux chargés de représenter l’Union dans les principaux organismes culturels locaux et lors des salons du livre se déroulant en région.
C’est avec optimisme que l’UNEQ accueille le chantier de réforme des lois sur le statut de l’artiste annoncé par la ministre de la Culture et des Communications du Québec. L’UNEQ espère vivement qu’une législation lui permettra enfin de négocier des ententes-cadres fixant les conditions minimales de travail, et aussi de tout type de contrat proposé aux écrivains.
La poursuite criminelle à l’encontre de l’écrivain Yvan Godbout et de son éditeur pour un passage du roman Hansel et Gretel (Éditions AdA, 2017), accusé de production et distribution de pornographie juvénile, préoccupe vivement l’UNEQ. Une telle poursuite pourrait mettre en danger la liberté d’expression.
Dans le cadre de la Nuit blanche à Montréal, l’UNEQ inaugure une première, la Ligue d’improvisation littéraire (à partir de courts extraits d’œuvres littéraires choisis par des écrivains, des comédiens et un musicien improvisent sur une scène la suite de l’histoire). Après le spectacle inaugural à la Maison des écrivains, la Ligue d’improvisation littéraire se produit à Rimouski, à la Place des Arts (Montréal) et à la Maison de la littérature (Québec).
Une nouvelle bourse de 15 000 $ créée par le Conseil des arts de Montréal et coordonnée par l’UNEQ, Poésie dans la cité, récompense ses premiers lauréats.
La Chambre des communes entreprend l’examen de la Loi sur le droit d’auteur. À plusieurs reprises pendant l’année 2018, l’UNEQ prend position en faveur des écrivains et des créateurs (dépôt de mémoires, témoignages devant des comités de la Chambre des communes, plusieurs communiqués de presse).
Les Rendez-vous du premier roman organisent une tournée québécoise avec les auteurs du meilleur premier roman québécois et du meilleur premier roman français élus par les clubs de lecture du Québec et en France. Le Québec compte désormais 17 clubs de lecture.
Pour mieux servir ses membres, l’UNEQ restructure le fonctionnement de ses services et de sa présence en région.
L’UNEQ, en collaboration avec d’autres organisations, obtient de Revenu Québec une interprétation favorable de la déduction fiscale pour droit d’auteur, après plusieurs années pendant lesquelles de nombreux auteurs ont été pénalisés.
Copibec et l’Université Laval concluent une entente hors cour en matière de droits d’auteurs, ce qui met fin au litige qui les opposait depuis 2014.
L’UNEQ obtient en Cour municipale de Montréal la validation de son droit à l’exonération des taxes municipales et scolaires pour la maison des écrivains, en vertu de la nature des activités exercées.
L’UNEQ dévoile son Plan stratégique 2018-2022 assorti d’un plan d’action pour 2018-2020.
L’UNEQ accueille favorablement la nouvelle politique culturelle du gouvernement du Québec.
À la Maison des écrivains, lancement officiel de la Fondation Lire pour réussir. Ce nouvel organisme philanthropique a pour mandat de contribuer à améliorer les habitudes de lecture afin d’augmenter le niveau de compétences en littératie de la population. Le partenaire principal de la Fondation Lire pour réussir est l’UNEQ.
Pendant la campagne électorale québécoise, l’UNEQ contribue à l’organisation de la journée Livres Québec 2018, débat électoral rassemblant des candidates des principaux partis.
La zone membres, à partir du site web de l’UNEQ, est entièrement repensée et redéployée sur une nouvelle plateforme.
L’UNEQ met en place un nouveau Comité des régions et renforce sa présence lors d’événements régionaux.
La décision de l’Université Laval de se doter de sa propre politique en matière de droit d’auteur est l’exemple le plus flagrant de l’iniquité provoquée par les modifications à la Loi sur le droit d’auteur en 2012. L’UNEQ soutient le recours collectif déposé par Copibec contre l’Université Laval, en février 2017, sollicitant l’appui de ses membres à des moments stratégiques.
Dépôt d’un mémoire sur le projet de Politique de développement culturel 2017-2022 de la Ville de Montréal.
Au chapitre des relations auteurs-éditeurs, l’UNEQ complète avec l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) un Lexique des termes usuels des contrats d’édition et reddition de comptes.
Un réseau de clubs du premier roman mis sur pied depuis 2013 avec le Festival du premier roman de Chambéry (France) devient Les Rendez-vous du premier roman, qui réalisent la première sélection de titres québécois (publiés entre le 1er novembre 2016 et le 31 juillet 2017).
L’UNEQ participe activement aux consultations publiques sur le renouvellement de la politique culturelle du Québec.
L’UNEQ organise la première Journée Lire pour réussir, le 8 septembre à Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ). Cette journée de débats et d’ateliers dédiés à la littératie permet de soulever des enjeux essentiels pour l’UNEQ.
Lancement de la nouvelle version d’Opuscules : littérature québécoise mobile. Entièrement gratuite, l’application est dorénavant accessible sur tablette, sur ordinateur personnel et sur téléphone mobile.
L’UNEQ dépose un mémoire dans le cadre des consultations sur le renouvellement de la politique culturelle québécoise organisées par le ministère de la Culture du Québec.
À la demande de ses membres, l’UNEQ mandate une consultante pour réaliser un état de situation de l’autoédition numérique et un inventaire des principales plateformes existantes et accessibles aux auteurs québécois.
La trousse de formation en ligne L’auteur, un agent autonome devient une plateforme interactive, L’auteur autonome, avec des contenus enrichis.
L’UNEQ développe de nouvelles activités de promotion de la littérature, notamment Les romanciers invités (en collaboration avec la Cinémathèque québécoise), un cabaret historico-littéraire en hommage à José Martí (en collaboration avec le festival Latin Arte), la création de la Journée Assia Djebar (avec Racines et confluences, SN Production et Mémoire d’encrier), ainsi que la série La Piazza, en collaboration avec l’Institut italien de culture.
L’UNEQ accueille un nouveau membre d’honneur, Claude Robinson, en reconnaissance de sa lutte de près de 20 ans pour faire reconnaître la propriété intellectuelle de son œuvre.
Le nouveau Comité Égalité hommes-femmes de l’UNEQ a pour mission d’analyser l’impact du fameux « préjugé inconscient » qui freine l’égalité des hommes et des femmes dans un certain nombre de domaines dont la littérature.
Dépôt d’un mémoire lors des consultations sur la réussite éducative menées par le ministère de l’Éducation du Québec.
L’UNEQ, avec le laboratoire NT2 de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), crée l’application mobile Opuscules pour proposer une expérience du texte littéraire sur tablettes et téléphones mobiles.
Un Répertoire d’œuvres du patrimoine littéraire québécois est mis en ligne pour favoriser la présence de la littérature québécoise dans les programmes d’enseignement.
En collaboration avec le service des bibliothèques de la ville de Montréal et le Conseil des arts de Montréal (CAM), l’UNEQ coordonne le programme de résidences d’écriture dans les bibliothèques de Montréal.
Faillite de l’éditeur La courte échelle : l’UNEQ offre un soutien juridique aux auteurs touchés et fait pression auprès des pouvoirs publics pour obtenir que les redevances dues soient intégralement payées.
L’UNEQ dénonce la réduction des budgets alloués aux bibliothèques scolaires. Devant le tollé général, le gouvernement du Québec fait marche arrière.
Développement de la trousse de formation en ligne L’auteur, un agent autonome : mise en ligne de six formations comportant une vidéo, un document écrit et une séance de clavardage.
L’UNEQ participe à l’organisation du colloque Quelle littérature québécoise pour quelle formation ?, à la Maison des écrivains.
Mise en place d’un échange de résidences d’écriture avec Port-au-Prince, fruit d’une collaboration entre l’UNEQ et le centre PEN-Haïti.
Création du Club de lecture de l’UNEQ, l’un des trois clubs québécois affiliés au Festival du premier roman de Chambéry.
La campagne Sauvons les livres, à laquelle l’UNEQ participe activement, conduit le gouvernement québécois à s’engager à réglementer le prix du livre.
Participation à l’organisation des Rencontres québécoises en Haïti et collaboration au Festival Voix au chapitre (France).
Mise en place du Ph@re, plateforme de microsites pour les écrivains.
Lancement de la série d’événements Écrire le monde, mises en lecture d’œuvres d’écrivains québécois en collaboration avec Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ).
Création de la bourse d’écriture Jean-Pierre-Guay—Caisse de la Culture.
La Commission du droit de prêt public (CDPP), Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), la Quebec Writer’s Federation et l’UNEQ s’associent pour organiser la fête de clôture des festivités soulignant les 25 ans du Programme du droit de prêt public.
En collaboration avec l’Association francophone pour le savoir (ACFAS), BAnQ et le Cœur des sciences de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), l’UNEQ prend part à l’exposition La preuve par l’image.
Organisation d’une soirée en hommage à feu Jean-Pierre-Guay, poète, romancier, diariste et ancien président de l’UNEQ.
Participation au comité sur le prêt numérique en bibliothèque et à la Table de la saison de la lecture à Montréal.
Participation active à la campagne « Nos livres à juste prix » en collaboration avec plusieurs organismes du milieu du livre.
Participation à une formation en trois séances sur la gouvernance des organismes artistiques présentée par le Conseil des arts de Montréal et HEC Montréal.
Création d’un comité des membres associés.
Nouvelle équipe et nouveau rédacteur en chef du journal L’Unique.
Développement d’une zone membres disponible sur le site web de l’UNEQ.
L’UNEQ rédige un mémoire au sujet du projet de loi fédéral C-32 modifiant la Loi sur le droit d’auteur, mémoire que la présidente défend en comité parlementaire.
Projet-pilote de six mois avec une agence littéraire afin de permettre aux écrivains qui le souhaitent de mieux faire valoir leurs droits lors de la signature de leur contrat avec leurs éditeurs.
Publication, à l’initiative de l’UNEQ, du Plaidoyer pour l’enseignement d’une littérature nationale : la littérature québécoise ! aux Éditions Fides.
Vingtième anniversaire du programme de parrainage de l’UNEQ.
Organisation d’une activité de formation et de speed dating pour la relève avec des intervenants du milieu du livre.
Publication d’une Mise en garde concernant les avenants au contrat d’édition — cinq façons de protéger vos droits numériques.
Participation aux travaux des comités ad hoc sur la révision de la Loi sur le statut de l’artiste S-32.01 et sur la mise en place de mesures sociales et fiscales pour les artistes et les créateurs.
Participation active, au sein du regroupement Droit d’auteur – Multimédia – Internet – Copyright (DAMIC), contre le projet de loi fédéral C-32 modifiant la Loi sur le droit d’auteur.
Participation de l’UNEQ à l’organisation d’un Forum sur la création littéraire.
Obtention, du ministère du Revenu, de l’assurance d’une interprétation plus large de la Loi sur le statut de l’artiste S-32.01, permettant ainsi de reconnaître l’exemption fiscale pour droit d’auteur aux écrivains professionnels œuvrant dans un domaine autre que littéraire.
Préparation et tenue d’un Forum sur la littérature nationale, en partenariat avec l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL), au cours duquel plusieurs intervenants du milieu du livre prennent des engagements pour assurer une meilleure diffusion de la littérature québécoise.
Élaboration d’un projet de mise en valeur de « la relève littéraire de Montréal » pour souligner le 50e anniversaire du Conseil des arts de Montréal.
Dépôt d’un mémoire, auprès des autorités fédérales, intitulé Plateforme législative concernant la révision de la Loi sur le droit d’auteur.
Réalisation d’une enquête intitulée Intégration des écrivains membres de l’UNEQ dans le domaine des magazines, avec la collaboration de deux sociologues de l’Institut national de la recherche scientifique – Urbanisation Culture Société, enquête soutenue financièrement par le Fonds du Canada pour les magazines.
Présentation du site Lisez, Montréal inspire ! produit en collaboration avec The Quebec Writers’ Federation (QWF), dans le cadre de Montréal, capitale mondiale du livre (MCML).
Combat contre l’abolition de la Chaîne culturelle de la radio de la Société Radio-Canada (SRC) et son remplacement par une chaîne « Espace Musique ».
Manifestation des écrivains, le 30 novembre 2003, devant l’édifice de la SRC à Montréal pour exprimer leur colère et leur indignation face à l’absence d’une information littéraire adéquate sur les ondes publiques.
Remise des Prix Alpha et Bêta pour souligner l’excellence ou la médiocrité des médias dans leur couverture de la littérature québécoise.
Représentations pour la modification de la Loi québécoise sur le statut de l’artiste, et pour la reconnaissance fiscale du Droit de prêt public auprès du gouvernement québécois.
Présentation d’un mémoire commun, avec le Conseil des métiers d’art du Québec, à la Cour suprême du Canada dans l’affaire Éditions Chouette c. Desputeaux.
Développement et mise en place, en partenariat avec d’autres associations, de Lire et faire lire, nouveau programme destiné aux enfants de quatre à huit ans ayant pour but d’encourager, de développer le goût de la lecture et de favoriser le développement de liens inter-générationnels.
Création d’un service de consultation fiscale pour l’ensemble des écrivains, membres et non-membres de l’UNEQ.
Participation à une enquête de l’Observatoire de la culture et des communications du Québec pour de déterminer les caractéristiques des écrivains, leurs conditions de pratique et leur positionnement par rapport aux enjeux que sont l’usage des nouvelles technologies et l’internationalisation des contenus culturels.
Publication d’une Mise en garde contre le contrat d’édition proposé par l’Association nationale des éditeurs de livres.
Mise sur pied d’une Commission itinérante pour consulter les membres de l’UNEQ en vue du Congrès d’orientation des 7 et 8 décembre (dix rencontres dans tout le Québec).
Nouvelles ententes d’échanges de résidences d’écrivains avec Mexico, Lyon et Amsterdam.
Collaboration à la Fondation québécoise pour l’alphabétisation et au programme La lecture en cadeau.
Présentation de la première édition de Livres comme l’air, en partenariat avec Amnistie internationale et le Centre québécois du PEN international.
Mise sur pied et participation active au Mouvement pour les arts et les lettres (MAL).
Présentation par l’UNEQ d’une tournée de huit poètes québécois, dans huit villes de France, avec le spectacle Un bleu d’Amérique.
Inauguration de L’ÎLE, centre de documentation en ligne sur la littérature québécoise, en collaboration avec le CRILCQ (Université de Montréal et Université Laval) et l’Association internationale des études québécoises.
Inauguration du Salon Émile-Nelligan à la Maison des écrivains.
Publication de la première édition du Guide de l’impôt pour l’écrivain et l’artiste.
Création de la Société québécoise de gestion collective des droits de reproduction (Copibec), de concert avec l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL).
Participation de l’UNEQ au congrès des Villes refuges, à Strasbourg, afin de promouvoir la candidature des villes de Montréal et de Québec au sein de ce réseau international.
Création et mise en place du Fonds d’investissement de la Culture et des Communications (FICC), avec l’Union des artistes et la Guilde des musiciens.
Publication du nouveau contrat-type révisé.
Règlement à l’amiable, au nom de 70 écrivains, entre l’UNEQ et Sogides relativement au pilonnage de plusieurs milliers de livres.
Conception et réalisation de la Rencontre culturelle Québec — Algérie, du 24 mai au 2 juin, avec le Comité Québec — Algérie et les Artistes pour la paix.
Adhésion et transfert des fonds de l’UNEQ à la Caisse d’économie Desjardins de la culture.
Création d’un Comité permanent des régions (aujourd’hui le Comité des régions).
Création du Festival de la littérature (aujourd’hui le Festival international de la littérature – FIL), géré et administré par l’UNEQ pendant dix ans.
Début des négociations avec l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) pour la formation d’une société de gestion collective des droits de reprographie.
Le 23 octobre, ouverture officielle de la Maison des écrivains au 3492, avenue Laval, à Montréal.
Nouvelles négociations avec l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) pour conclure une entente-cadre fixant les conditions minimales d’un contrat d’édition.
Reconnaissance de l’UNEQ comme l’association la plus représentative des artistes du domaine de la littérature, en vertu de la Loi sur le statut professionnel des artistes en arts visuels, des métiers d’art et de la littérature et sur leurs contrats avec les diffuseurs (L.R.Q., chapitre S-32.01).
Acquisition d’une maison de 4 800 pieds carrés, au 3492 avenue Laval à Montréal, ayant appartenu au cinéaste Claude Jutra.
Dépôt d’un mémoire à la Commission permanente de la culture qui étudie le projet de Loi 78 sur le statut de l’artiste et de l’écrivain.
Dépôt d’un mémoire à la Commission du développement culturel de la Ville de Montréal sur la situation de la littérature dans les bibliothèques.
Lancement d’une campagne de financement pour soutenir le projet de Maison des écrivains.
Modifications proposées au projet de loi 78 pour y inclure une définition plus large de l’écrivain.
Premier paiement aux auteurs de la Commission du Droit de prêt public.
Représentations à Ottawa pour que des compensations soient payées aux écrivains pour le prêt de leurs livres par les bibliothèques publiques.
Intervention à la Commission parlementaire sur le statut socioéconomique des créateurs.
Naissance du Journal de l’UNEQ, l’ancêtre de L’Unique, qui paraît quatre fois l’an.
Signature de la première convention concernant la reprographie dans les établissements d’enseignement d’ordre collégial.
Mise sur pied d’un service de première consultation juridique.
Publication du Dictionnaire des écrivains québécois contemporains aux Éditions Québec Amérique.
Création du Fonds de secours Yves-Thériault.
Négociations avec le gouvernement québécois pour que le paiement prévu de redevances aux écrivains pour la photocopie de leurs œuvres au collégial s’étende aux autres ordres d’enseignement.
Fondation, à Québec, de la Fédération internationale des écrivains de langue française (FIDELF).
Développement de réseaux de tournées en Nouvelle-Angleterre et dans le Mid-West américain.
Inauguration d’un programme d’échanges de résidences d’écrivains avec la Société des gens de lettres (France).
Organisation d’un colloque conjoint avec The Writers’ Union of Canada et l’Association des traducteurs littéraires.
Organisation de tournées d’écrivains dans les écoles primaires et secondaires en collaboration avec Communication-jeunesse.
Première manifestation publique des écrivains pour revendiquer un contrat-type à l’occasion d’une assemblée générale de l’Association des éditeurs.
Création d’un service-conseil pour aider les écrivains à mieux négocier leurs contrats d’édition.
Publication du Petit Dictionnaire des écrivains.
Début des négociations avec le ministère de l’Éducation sur le protocole de compensations pour l’utilisation des œuvres littéraires québécoises dans les publications et les examens du Ministère.
Fondation de l’Union des écrivains québécois par une cinquantaine d’écrivains réunis autour de Jacques Godbout, le 21 mars 1977.
Pour en savoir plus, consultez notre article « Aux origines de l’UNEQ ».
Anciennes présidentes et anciens présidents
décembre 2016 – avril 2017
décembre 2000 – novembre 2004
octobre 1980 – octobre 1982
mars 1977 – mars 1979
Membres d’honneur
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Comité des régions
Le Comité des régions de l’UNEQ veille à défendre particulièrement les droits socioéconomiques des écrivaines et des écrivains habitant et œuvrant sur le territoire québécois, assure un contact entre les écrivaines et les écrivains en région et l’UNEQ, encourage les échanges et les liens tout en valorisant la littérature créée par les écrivaines et les écrivains québécois en région.
Pour consulter la liste des membres du Comité des régions, cliquez ici.
Comité consultatif sur les questions sociales et éthiques dans le milieu littéraire
Le Comité consultatif sur les questions sociales et éthiques dans le milieu littéraire de l’UNEQ (anciennement Comité Égalité hommes-femmes) a été créé en septembre 2016 pour analyser l’impact du fameux « préjugé inconscient » qui freine l’égalité des hommes et des femmes dans un certain nombre de domaines dont la littérature.
Le 22 novembre 2019, l’UNEQ a dévoilé un étude inédite, Quelle place pour les femmes dans le champ littéraire et dans le monde du livre au Québec ?, menée pour le Comité par une doctorante en études littéraires et culturelles, Charlotte Comtois, supervisée par Isabelle Boisclair, professeure en études littéraires et culturelles à l’Université de Sherbrooke. Cette étude a reçu l’appui financier du Réseau québécois en études féministes (RéQEF).
Ont été membres du Comité de 2016 à 2020 : Mélikah Abdelmoumen, Isabelle Boisclair, Charlotte Comtois, Louise Dupré, Pierre-Luc Landry, Jonathan Lamy, Maude Nepveu-Villeneuve, Karine Rosso, Rodney Saint-Eloi et Danièle Simpson.
À la suite de la publication le 15 juillet 2020 de la lettre collective « Revendications et pistes de solutions » sur les violences sexuelles et abus de pouvoir dans le milieu littéraire, le conseil d’administration de l’UNEQ a confié un nouveau mandat au Comité. Ce dernier est aujourd’hui composé de Noémie Pomerleau-Cloutier, Charlotte Comtois, Natasha Kanapé Fontaine, Pierre-Luc Landry, Geneviève Lauzon, Erika Soucy et Iléana Tismanariu.
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