Après avoir lu 10 premiers romans français et 10 premiers romans québécois, pendant six mois, les lecteurs des Rendez-vous du premier roman ont tranché et élu leurs favoris. Les Rendez-vous du premier roman sont animés par l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ), partenaire québécois de Lectures Plurielles, organisateur du Festival du premier roman de Chambéry-France. Les 120 lecteurs québécois étaient réunis dans 11 clubs à Laval, Mont-Joli, Montréal, Québec, Sainte Julie, Shawinigan et Sherbrooke.
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Vous aimez lire (beaucoup) ? Vous avez un esprit critique et aimez partager et confronter vos opinions ? Vous avez du nez pour déceler de nouveaux talents ? Nous recherchons plusieurs grands lecteurs bénévoles qui établiront une sélection des 10 premiers romans québécois les plus prometteurs parus ces derniers mois. Le comité sera supervisé par l’écrivaine et animatrice Claudia Larochelle.
Authors were dealt a crippling blow when, on 16 February of this year, all school boards of Ontario, as well as the ministries of education for all provinces and territories — excluding Quebec, Ontario and British Columbia —, filed an action against Access Copyright, claiming overpayment of royalties during 2010-2012. Worse still, they are demanding a retroactive compensation of $27.5 million for those alleged overpayments.
Coup de Jarnac contre les auteurs : le 16 février dernier, toutes les commissions scolaires de l’Ontario ainsi que les ministères de l’Éducation de toutes les provinces (sauf le Québec, l’Ontario et la Colombie-Britannique) ont déposé une poursuite contre Access Copyright – l’équivalent de Copibec dans le reste du Canada –, sous le prétexte qu’ils ont payé des redevances en trop durant les années 2010-2012. Le pire, c’est qu’ils réclament un remboursement rétroactif de 27,5 millions $ pour ces sommes soi-disant payées en trop.
Pendant plus de 30 ans, il n’y a pas eu de limite de temps pour l’admissibilité des titres. Depuis cette année, la Commission du DPP impose une limite de 25 ans, en invoquant les raisons suivantes : il y a de plus en plus de nouveaux écrivains (800 nouveaux écrivains inscrits chaque année), de plus en plus de nouveaux titres (auxquels se sont ajoutés des titres numériques) et, bien que le budget du Programme ait été récemment bonifié, il n’est pas illimité.