Du 19 janvier au 14 juin 2019, la Minigalerie de la Maison des écrivains présente l'exposition Surécrivains, « surportaits » d'écrivains réalisés par Benoît Erwann Boucherot. Au menu : Gabrielle Roy, Élise Turcotte, Victor Hugo, Marie Darrieussecq, Maude Veilleux, Virginie Despentes, Fanie Demeule, Bernard-Marie Koltès et plus encore.
L’atelier, d’une durée de six heures, se présente sous forme d’échanges entre la formatrice, Me Vivianne de Kinder, et les participants, autour de 50 questions liées à la création et à la diffusion numérique chez les écrivains. De la plus générale à la plus pointue, ces questions abordent les principaux aspects juridiques du Web que tout artiste doit connaître et appliquer s’il souhaite utiliser d’autres œuvres diffusées sur le Web, diffuser ses propres créations, promouvoir ses activités, etc.
À l’occasion de la Nuit blanche à Montréal, célébrée dans le cadre de MONTRÉAL EN LUMIÈRE, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) invite le public à une rencontre audacieuse, la Ligue d’improvisation littéraire vous invente des futurs !
Quels sont les principes de base d’une lecture publique adéquate ? Comment en maximiser l’impact ? Une représentation publique efficace participe avantageusement à la promotion des œuvres de l’écrivain, au maintien d’un lien privilégié avec son public, et lui permet de séduire un nouveau lectorat. Formation offerte par la comédienne Pascale Montpetit.
Le vernissage de la nouvelle exposition de la Minigalerie de la Maison des écrivains, Surécrivains de l'artiste Benoît Erwann Boucherot, aura lieu le 8 mars 2019.
Depuis le 1er février 2019, le jeune poète argentin Agustín Mazzini est en résidence d’écriture à Montréal grâce à un partenariat entre le Conseil des arts et des lettres du Québec et le ministère de la Culture de l’Argentine, avec la collaboration de l’UNEQ.
Les Éditions Triptyque sont heureuses de vous convier à un double lancement de poésie qui mettra à l'honneur Doublures, de Robert Giroux et Preuve d'existence, de Joanne Morency.
L’arbre est politique. Bertrand Laverdure sait parler aux arbres. Sans eux, les gens perdraient leur chemin et leur cœur. Une musique infinie, un vertige, un piano, ou une danse projette sa lumière sur la ville. Que serait Montréal sans ce peuple vertical qui enseigne la douceur, l’espoir et l’humilité ?