L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ), lors de son assemblée générale annuelle qui a eu lieu à Montréal le 2 décembre dernier, a renouvelé une partie de son conseil d’administration et dévoilé quelques priorités pour l’année 2018.
Actualités
Le juge Simon Hébert vient de rendre sa décision concernant la demande de sursis déposée par l’Université Laval en septembre dernier.
Il y a deux ans, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) a lancé la première application de littérature québécoise mobile, Opuscules, qui présentait sur téléphone de courts textes inédits d’écrivains primés et plus de 200 blogues littéraires. La nouvelle version d’Opuscules, disponible dès le 16 novembre 2017, va beaucoup plus loin !
Du 15 au 20 novembre 2017, Amnistie internationale, le Centre québécois du P.E.N. international et l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) s’associent pour défendre la liberté d’expression au Salon du Livre de Montréal, dans le cadre de la 18e édition de Livres comme l’air. Dix écrivains québécois seront jumelés à dix écrivains emprisonnés à travers le monde.
Moi qui croyais (ou espérais) que le mois d’octobre serait un peu plus calme ! Ce fut tout le contraire… D’abord, le 8 octobre dernier, la ministre de Patrimoine canadien, Mélanie Joly, a dévoilé sa nouvelle politique culturelle. Dans une lettre ouverte, j’ai fait part de la déception de l’UNEQ en constatant que la ministre ne s’engageait pas concrètement en faveur des créateurs quant à la notion d’utilisation équitable des œuvres, qui a fait tellement de tort aux ayants droit en permettant l’introduction de nombreuses exceptions. Vous avez sans doute lu l’article du Devoir qui faisait état de pertes se chiffrant à des millions de dollars pour les auteurs.