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Exposition : regarde-e-moi

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal

Le projet regard-e-moi a mûri près d’un an avant de voir le jour. Frédérique Dubé, poète, et Mélissa Giguère, photographe, deux amies de longue date, ont lu et réfléchi sur la place de la femme vieillissante dans l’histoire de l’art. Elles ont constaté que l’iconographie de la femme âgée dans l’histoire de l’art occidental demeure marginale et réfère souvent à des symboles péjoratifs (maladie, folie, dépérissement du corps, mort).

Musclez votre imaginaire — atelier offert par Christiane Duchesne

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal

À ceux qui œuvrent de près ou de loin et même de très loin dans le domaine de la création, qui doivent chaque jour inventer des solutions de toute espèce, qui naviguent entre les mots, les images, la comptabilité, la gestion, l’administration ou les nouvelles technologies, à tous ceux qui s’usent les neurones à longueur d’année, j’offre trois heures de grand ménage.

100$

18e édition de Livres comme l’air : la liberté d’expression au Salon du livre de Trois-Rivières

Salon du livre de Trois-Rivières 1620, rue Notre-Dame-Centre, Trois-Rivières

La 18e édition de Livres comme l’air se déroulera aussi pour la troisième fois au Salon du Livre de Trois-Rivières, du 22 au 25 mars 2018. On y rendra hommage aux écrivains et aux écrivaines injustement emprisonnés ou harcelés à travers le monde.

Venez rencontrer et écouter les dix écrivains québécois de renom, Marie Célie Agnant, Biz, Alain Deneault, Nancy Godbout, Jocelyn Jalette, Marie Laberge, Natasha Kanapé Fontaine, Guillaume Morrissette, Alain Vadeboncoeur et Chloé Varin, partager les raisons de leur soutien à dix écrivains étrangers injustement emprisonnés ou persécutés pour leurs écrits.

Julie Demers présente Beasts of the Southern Wild

Cinémathèque québécoise 335, boul. De Maisonneuve Est, Montréal

« Je travaillais depuis environ deux ans sur mon roman Barbe lorsque j’ai vu Beasts of the Southern Wild pour la première fois. L’écriture n’avançait plus : j’étais bloquée, épuisée et je songeais à abandonner.

La rencontre avec la petite fille du film m’a donné un nouveau souffle. Il y avait tellement de parallèles à faire entre Barbe et Beasts of the Southern Wild : la fougue de la petite, l’isolement du village, l’omniprésence de la nature, la relation avec la figure paternelle et, bien sûr, une certaine liberté dans la forme. Je me suis alors sentie rassurée. Rassurée à l’idée que quelqu’un, quelque part, puisse s’intéresser un jour à l’histoire saugrenue de ma petite fille sauvage.

Portée par cette conviction, mais aussi par la trame sonore du film, j’ai enfin trouvé le courage de me lever à 5 h du matin pour écrire et faire avancer la trame narrative de mon roman. » — Julie Demers