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Aujourd’hui

Table ronde : l’héritage de Refus global

Maison de la littérature 40, rue Saint-Stanislas, Québec, Québec, Canada

Soixante-dix ans après Refus global, quelles sont ses traces dans la société et dans la littérature ? Écrire et éditer de nos jours, quelles différences avec l’ère de Borduas ? Qu’en est-il de la prise de risques des écrivains et des éditeurs en 2018 ? Ce sont quelques-unes des questions auxquelles tenteront de répondre les écrivains Anaïs Barbeau-Lavalette et Alain Deneault ainsi que les éditeurs Étienne Beaulieu (Nota bene) et Mark Fortier (Lux) lors d'une table ronde au festival Québec en toutes lettres.

Livres comme l’air : la liberté d’expression au festival Québec en toutes lettres

Maison de la littérature 40, rue Saint-Stanislas, Québec, Québec, Canada

Le festival Québec en toutes lettres, dans la capitale, sera l'hôte d'une cérémonie de lectures de dédicaces Livres comme l'air le 21 octobre. On y rendra hommage à dix écrivains et écrivaines injustement emprisonnés ou harcelés à travers le monde.

La vie… est la littérature… : projection d’un documentaire et discussion animée par Omer Ozen

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal, Québec, Canada

Asli Tanrikulu, dont l'ambition était d'être musicienne alors qu’elle était professeure de musique, vivait à Istanbul. Après que son père eut insisté, elle décide d’accepter un poste d'enseignante dans une école rurale du canton de Varto dans la province de Muş (Mouche). Au cours de son aventure pédagogique qui commence par de grandes hésitations, elle touche de nombreuses vies.

10$

Lancement du livre Thomas Merton : une traversée en solitaire, de Jacques Julien

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal, Québec, Canada

Cet essai porte sur la vie monastique et la carrière d’écrivain du trappiste américain Thomas Merton (1915-1968) alors que le 10 décembre 2018 marquera le 50ème anniversaire de sa mort accidentelle à Bangkok, à l’âge de cinquante-trois ans.

Martine Delvaux présente Thelma & Louise

Cinémathèque québécoise 335, boul. De Maisonneuve Est, Montréal, Québec, Canada

« Le film Thelma & Louise est au cœur de mon roman Thelma, Louise & moi ; il en est la charpente, le squelette. J’ai écrit sur le film pour écrire sur moi. J’ai écrit sur le film tout en écrivant sur moi, comme si le film me donnait une permission de le faire, et de cette façon-là : en voyageant, en avançant sans savoir exactement où je m’en vais, en racontant certaines choses tout en gardant certains secrets. »

11$

Lancement du livre Mon chemin de Lucien Bouthillier

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal, Québec, Canada

Lucien Bouthillier jette un regard tendre et lucide sur ses années passées. Sur sa famille, sur ses choix professionnels — qui l’ont mené à être tour à tour agent de la Sûreté du Québec, G.O. au Club Med, instructeur de voile, vendeur sur les marchés et professeur de français—–, sur ses amis... et sur les femmes de sa vie, qui se sont envolées, mais qui restent, tendres fantômes, toujours présentes dans un coin de son cœur.

Premiers romans : désir d’écrire, besoin de raconter

Salon du livre de Montréal Palais des congrès de Montréal, 1001, Place Jean-Paul-Riopelle, Montréal, Québec, Canada

De nombreux primo-romanciers puisent dans leur histoire personnelle pour se lancer dans l’écriture. Est-ce qu’on commence à écrire parce qu’on a quelque chose d’immense à raconter ou est-ce le désir d’écrire qui nous amène à trouver une bonne histoire ? L’écriture est-elle le meilleur médium pour parler de soi ? De multiples questions traversent les coulisses des premiers romans.

Table ronde : les adolescents ne lisent plus pour le plaisir

Salon du livre de Montréal Palais des congrès de Montréal, 1001, Place Jean-Paul-Riopelle, Montréal, Québec, Canada

Une étude publiée fin 2016 par l’Institut de la statistique du Québec a révélé que parmi les élèves francophones de 15 ans, environ la moitié (52 %) ne lisaient pas pour le plaisir, ou l’ont fait moins d’une heure durant une semaine normale, au cours des trois mois qui ont précédé l’enquête. Pire, 27 % ont déclaré ne pas avoir lu du tout pour le plaisir pendant cette période (32 % chez les jeunes garçons).